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Les galeries principales
portent le nom de rues.
Bien évidemment, elle
n'ont pas été rebaptisées depuis plusieurs siècles, il est donc
impossible de comparer le réseau souterrain avec le rues en surface.
Ici, voici la rue de
la voie verte - 1875.
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Marcher dans un lieu qui
n'a pas évolué depuis plusieurs siècles a quelque chose d'irréel : nous
sonnes à moins de 20 mètres de la surface du sol et ici le temps semble
ne pas exister !
Une demi-heure après
notre entrée, nous rencontrons les premières difficultés.
Toutes les galeries ne
sont pas sèches et il arrive que le niveau de l'eau soit élevé.
Je regrette de ne pas
avoir amené des tennis, mes bottes prenaient inexorablement l'eau...
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Notre guide, toujours
prêt à faire la trace continuait à progresser a vitesse soutenue.
C'était sa deuxième sortie,
et l'on peut être surpris par sa maîtrise des galeries.
Les cuissardes, accessoire
indispensable si l'on ne veut pas se mouiller les pieds, ne sont
pas obligatoires : l'eau n'étant pas froide, on supporte très bien
un survêtement mouillé...
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Après les galeries, le
lieu dit 'la plage' (de l'eau et du sable !).
ces grandes salles, utilisées
pour les soirées nocturnes, sont souvent recouvertes de graffitis
plus ou moins beaux.
Il est intéressant de
bien visualiser ces endroits sur le plan, ils servent souvent de
repères pour le retour !
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Le
Cellier
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